Elodie Durand-Thonon (chargée d’affaires Primum Non Nocere) sur change.org
Bonjour Bonsoir !
Je viens de faire partir une salve de mails à nos amis politiques afin de leur demander de se saisir de notre sujet…
Voici les personnes contactées :
• ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé)
• Ministère de l ‘économie et des finances via Nathalie HOMOBONO, Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes et leur service Consommation, qualité et sécurité des produits et services
• Ministère de la Santé : et sa ministre Marisol Tourraine
• Députés de l’Hérault (parce que c’est là où je vis…)
• Tout les Groupes politiques de l’assemblée nationale
Avec un mail adapté à chacun mais dont le contenu ressemble à peu près à ça :
Bonjour,
J’ai créé il y a 2 mois une pétition pour dénoncer la composition des couches jetables, via le Leader Pampers (voir liens ci-dessous), notamment autour de la présence de 2 HAP, cancérigènes.
Cette pétition a reçu le soutien de 68 000 personnes et a retenu l’attention des pricipaux intéressés puisque j’ai été reçu par Procter&Gamble la semaine passée et les explications données me semblent totalement incohérentes et j’aimerai pouvoir échanger avec vous sur le sujet…
Ils dénoncent le cadre de l’analyse qui les a mis en porte à faux car elle est faite sur la base de solvant. Or, le laboratoire d’analyse de renommée internationale est une référence et bénéficie d’une légitimité assise et acquise. Eux, préfèrent pratiquer leurs analyses via du « NACl » ou sérum physiologique. Mais j’ai appris par un professeur de physiques chimie d’Université que les HAP sont hydrophobes… Ils s’agit donc d’un non sens…
Enfin, deux fabricants de couches écologiques m’ont confirmé qu’il n’y avait jamais eu en France (ou ailleurs d’ailleurs) d’étude d’usage sur les couches. C’est à dire, si j’ai bien compris, que l’on n’a jamais envisagé d’analyser la dégradation des couches jetables et leurs impacts sur la santé des nourrissons et enfants, sous l’effet des excrétats (selles, urines et transpiration) ainsi que du frottement, de la durée et la fréquence d’exposition (alors que les couches jetables sont en contact avec les parties génitales des nourrissons et enfants de leur naissance jusqu’à leur 3 ans et ce, H24…)
Pouvez- vous me confirmer, ou, je l’espère, infirmer ces éléments svp ?
Je reste à votre disposition,
Bien cordialement,
Élodie Durand-Thonon
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