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La pilule dénoncée pour ce qu’elle est : un perturbateur endocrinien.

    La pilule dénoncée pour ce qu’elle est : un perturbateur endocrinien.

    La pilule dénoncée pour ce qu’elle est : un perturbateur endocrinien.

    Il est difficile d’en douter après avoir lu l’essai de la journaliste Sabrina Debusquat intitulé : « J’arrête la pilule ». Un essai en forme de réquisitoire contre cet emblème de la « révolution » de 68. Révolution sexuelle entre autre qui dans sa volonté de briser les tabous et de substituer la transgression à la liberté vraie nous conduit à des asservissements infiniment plus destructeurs que ceux auxquels nous avons pu croire échapper.

    Un lourd passif.

    Nous ne reviendrons sur l’histoire de la pilule et de ses différentes métamorphoses au cours d’un demi-siècle et nous nous contenterons d’évoquer l’acte inqualifiable de ceux qui ont mis en vente  ces pilules dites de troisième et quatrième génération ayant conduit des femmes en pleine santé, à l’AVC aux embolies et à la mort.

    Certes ces pilules dont on nous affirmait qu’elles représentaient « un progrès » ou « une avancée » sur les générations de pilules précédentes (comme s’il pouvait y avoir quelque progrès dans la consommation d’un produit néfaste en soi) ont été retirées de la vente et on en est revenu aux pilules dites de seconde génération. Mais la prise de conscience a été radicale : les prescriptions ont baissé et la dernière enquête de l’Ined qui date de 2014, montre que  41% des femmes prenaient la pilule en 2013, alors qu’elles étaient encore 50% sept ans plus tôt (avant que n’éclate le « scandale de la pilule »)

    Un avenir encore plus sombre.

    Mais il ne faut pas que l’arbre vénéneux des quatrième et troisième générations ne nous cache les traquenards mortels de la forêt constituée par le produit dans sa conception même, toutes générations confondues. Parmi lesquels : dépression, libido éteinte, cancers sans oublier les pollutions chimiques contre lesquelles les bébés auront à se défendre.

    C’est à mettre un peu de lumière dans cette sombre réalité que s’attache le livre édité depuis quelques mois sous le titre « J’arrête la pilule » (1)

    La pilule dénoncée pour ce qu’elle est : un perturbateur endocrinien.Écrit par la journaliste indépendante Sabrina Debusquat, ce livre expose les résultats d’une année d’enquête passée à reprendre des centaines d’études publiées et à interroger de nombreux experts. Et pas seulement car l’auteur a aussi rencontré d’anciennes utilisatrices passées, depuis, à des méthodes naturelles modernisées.

    Rien de nostalgique dans cette démarche car la plupart de ces femmes – qu’elle appelle des « aventurières de la courbe de température sur smartphone » –  inscrivent leur démarche dans un féminisme « éclairé » car leur but avoué est de « partager la charge mentale contraceptive avec les hommes ».

    Perturbateur endocrinien mais aussi poison social.

    En quoi cette démarche « éclairée » répond, en confirmant son aspect prophétique, à un texte qui – comme le livre de Mme Debusquat le fait déjà – avait suscité d’énormes polémiques lorsqu’il fut publié en 1968. Il s’agit de l’Encyclique Humanae Vitae de Paul VI qui condamnait la contraception « non naturelle » et qui s’avère aujourd’hui prophétique.

    La pilule dénoncée pour ce qu’elle est : un perturbateur endocrinien.Quand ce texte parut, les partisans de la contraception chimique affirmaient que les avortements et les naissances chez les parents non mariés allaient diminuer suite à un contrôle des naissances plus efficace. Or c’est tout le contraire qui s’est produit : les avortements ont augmenté de manière exponentielle : 220.000 avortements par an pour la seule France. Sans parler des effets de cette « libération chimique » sur les couples et les familles.

    Pourquoi ? Parce-que désormais la responsabilité de la grossesse repose sur les épaules de la seule femme. Une femme qui s’imagine plus « libre » avec la pilule, mais, qui oublie que la contraception a rédimé la responsabilité des hommes vis-à-vis de leur grossesse et, par conséquent, envers les femmes enceintes : « Après tout, si elle est enceinte, c’est de sa faute car elle dispose de la pilule et moi pas » vous dira le premier mufle venu. « Elle n’a qu’à avorter ! »

    Donc les femmes avortent.

    C’est ainsi qu’une analyse signée George Akerlof, Janet Yellen, et Michael Katz parue aux USA explique que « en faisant de la naissance de l’enfant le choix physique de la femme, la révolution sexuelle a fait du mariage et de la charge de l’enfant le choix social du père ».

    Bref. Le livre de Sabrina Debusquat jette un sacré pavé dans la mare de la soupe hédoniste et libertariste qui constitue désormais la religion dominante de notre société.  Aux nuisances sociales et morales qu’on s’efforce de ne pas voir depuis cinquante ans et qui affectent essentiellement les femmes (et les enfants) il révèle une nouvelle agression que le principe de plaisir les oblige à assumer : des atteintes avérées à leur santé, voire à leur vie du fait d’un « biologisme » devenu fou.

    La presse nationale bruit déjà de nombreuses tribunes et débats pour ou contre les thèses de cette journaliste… qui n’a fait qu’écrire ce qu’elle a pu vérifier. Nous vous y renvoyons.

    À chacun désormais de se faire un jugement fondé sur les faits. Qui sont têtus, comme nous le rappelait ce grand humaniste de Lénine.

    D’ailleurs, nous vous fournissons des liens qui devraient vous les faire mieux apprécier :

    Olivier TOMA – PRIMUM-NON-NOCERE

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