Le changement climatique influe sur les déterminants sociaux de la santé : air pur, eau potable, nourriture en quantité suffisante et sécurité du logement. La teneur de l’air en ozone et autres polluants, les concentrations en pollen et autres aéroallergènes sont plus élevées en cas de chaleur extrême, ce qui contribue directement à la mortalité par maladies cardiovasculaires ou respiratoires.
Selon l’OMS*, entre 2030 et 2050, le changement climatique pourrait entraîner près de 250 000 décès supplémentaires par an, dus à la malnutrition, au paludisme, à la diarrhée et au stress lié à la chaleur. On estime que le coût des dommages directs pour la santé se situe en 2 et 4 milliards de dollars par an d’ici 2030.
Quelles sont les possibilités de promouvoir la santé tout en réduisant les émissions de dioxyde de carbone ? Eléments de réponse avec Olivier Toma, fondateur de l’agence Primum non nocere.
CaféSanté #2 du Vendredi 11 décembre 2015 avec Olivier Toma
Olivier TOMA
Directeur de clinique pendant 15 ans, fondateur de l’agence Primum non nocere, Vice-Président du RES (Réseau Environnement Santé). Auteur de deux ouvrages « Le développement durable et solidaire en santé », « Hippocrate, au secours ! ».Better calcio risultati ieri
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